Faire carrière dans l’industrie pharma, c’est possible!
Aujourd’hui, les industries de santé recrutent sur un large panel de métiers pour que chacun puisse apporter sa contribution à la production de médicaments, dans un secteur en croissance, stratégique et innovant. Un objectif concret et atteignable par tous !
Nos sites recrutent tous les profils et à tous les niveaux d’études
Karine Rousseau, directrice du développement RH France de Delpharm.
16 000.
C’est le nombre de recrutements effectués par l’industrie pharmaceutique en 2022, selon Arnaud Chouteau, directeur emploi formation du Leem, le syndicat professionnel des entreprises du médicament. Les laboratoires pharmaceutiques ont augmenté de 2,7 % leurs effectifs en CDD et CDI, par rapport à l’année précédente, soit nettement plus que le reste de l’industrie française (1,3 %). « Nous avons connu quatre années de hausse consécutive avec une accélération l’année dernière qui a permis la création nette de 2 050 emplois (un niveau jamais atteint depuis 2005) et d’atteindre un effectif total de 106 000 personnes », indique-t-il.
En 2023, on estime à près de 3,7 milliards d’euros les investissements menés dans l’Hexagone par les
laboratoires pharmaceutiques pour augmenter leurs capacités, moderniser et décarboner l’outil industriel. Au-delà de l’Île-de-France et de l’Auvergne-Rhône- Alpes, ces investissements irriguent tous les bassins d’emploi, jusqu’aux Hauts-de-France, au Grand Est et à la Nouvelle-Aquitaine.
De belles opportunités d’évolution
« Au service de la santé des patients,
nos entreprises sont engagées dans
la réindustrialisation et l’autonomie sanitaire européenne, avec une prédominance des emplois dans nos régions dans la production, le contrôle qualité et l’environnement », indique Arnaud Chouteau.
Le secteur offre des postes qualifiés (59 % des effectifs sont des cadres) et qui se féminisent (56,3 % de femmes), en entretenant une culture de la diversité et de l’intégration, avec 37 % des emplois occupés par des seniors (+50 ans) et 4 %
des personnes en situation de handicap.
Autre point : l’alternance, reconnue comme la voie royale d’insertion des jeunes, s’approche de
la barre des 10 000 candidats en 2022. Au coeur
de cette dynamique, le groupe Delpharm recrute en moyenne 200 postes par an pour ses 11 sites en
France (et 19 dans le monde). Une mission compliquée, compte tenu de la concurrence
et du manque de main-d’oeuvre qualifiée sur le marché, mais aussi d’une certaine méconnaissance
des métiers industriels.
« Nous sommes en recherche perpétuelle sur
les métiers d’opérateurs et conducteurs
de ligne de production, ainsi qu’en contrôle qualité, tandis que les pénuries persistent sur les techniciens de maintenance industrielle et les pharmaciens », reconnaît Karine Rousseau, directrice du développement RH France de Delpharm, qui n’a pas hésité l’année dernière à ouvrir les portes de son site de Huningue, en Alsace, pour faire connaître ses métiers au grand public. « Nos sites recrutent tous les profils et à tous les niveaux d’études, du sans diplôme jusqu’au bac +6, avec des opportunités réelles de carrière, ajoute-t-elle. Nous avons régulièrement des témoignages de personnes qui n’ont pas fait d’études en pharmacie, mais ont intégré notre industrie comme opérateurs, puis ont gravi les échelons et sont aujourd’hui superviseurs de production », témoigne-t-elle. La flexibilité est nécessaire pour répondre à des besoins variés. « On recherche à la fois des compétences mixtes
de techniciens, avec des connaissances en mécanique, pneumatique ou hydraulique, avec la capacité en parallèle de travailler sur des automates, de la robotique ou des systèmes
d’intelligence artificielle, pour les jeunes générations qui sortent des écoles », décrit Karine Rousseau,
qui insiste également sur la rigueur requise pour travailler dans une industrie où l’on se conforme à des règles, des procédures et des normes de qualité.
Des métiers à responsabilité et porteurs de sens
Mais ce sont les IMTistes qui parlent le mieux de leur secteur de prédilection ! « Les enjeux actuels de souveraineté et de relocalisation sont une
chance aujourd’hui de réinternaliser de nombreux métiers qui avaient disparu de notre territoire », souligne Mohamed Habaz, IMTiste qui a passé vingt-six ans au service de l’industrie pharmaceutique, avant de cofonder le cabinet de conseil Atryon. « Et pour les personnes qui
sont prêtes à découvrir le monde et servir les industries de santé, il y a aussi de nombreuses opportunités de carrière à saisir à l’international :
Afrique, Moyen-Orient… » Cela fait partie de « l’horizon des possibilités de formation, de mobilité et de développement professionnel » qu’offre l’IMT. « L’enseignement apporte une vision d’ensemble des métiers de la production pour faire le bon choix,
ainsi qu’un savoir-être et un savoir faire pour s’adapter rapidement sur le terrain et manager ses équipes », ajoute-t-il.
Apprendre les bonnes pratiques de fabrication pharmaceutiques et cosmétiques en alternance
sur site ou sur les plateaux techniques du Groupe IMT, est une chance et fournit, pour les entreprises,
un vivier de candidats avec des idées et des compétences nouvelles. « Rompus aux enjeux de performance et de management, les IMTistes peuvent évoluer de manière autonome et prendre des responsabilités rapidement dans l’entreprise.
C’est ce que tout individu recherche aujourd’hui, au-delà d’un salaire. Nos techniciens apportent tous les
jours leur expertise dans nos réunions d’amélioration continue de la qualité, ce qui est très valorisant pour eux », présente Johan Mechour, IMTiste actuellement responsable de la production
stérile chez Delpharm Saint-Rémy-sur-Avre, un site eurélien qui s’est démarqué pendant la pandémie
puisqu’il a été choisi par Pfizer/ BioNTech pour remplir et conditionner son vaccin à ARNm contre le
covid.
Et maintenant, tout est possible !
Sur un marché tendu, l’IMT met de l’huile dans les rouages grâce à ses formations et aux nombreuses passerelles qui existent pour permettre à des jeunes (et moins jeunes) de prolonger (ou reprendre) leurs études et d’accéder à des postes auxquels ils n’auraient pas forcément accès ou pensé avoir accès.
« Cela passe par la diversité des parcours, des canaux de sourcing et les nombreux partenariats conclus avec les universités (Tours avec le Bio3 Institute, Toulouse, Montpellier, Grenoble, Rouen, Dijon…) et les écoles d’ingénieurs (ESITech, CESI, UTC Compiègne, INSA Toulouse, ITECH Lyon) pour adapter les contenus, mutualiser les plateaux pédagogiques et donner des perspectives d’évolution », note Hervé Galtaud, directeur général du Groupe IMT.
L’idée est de favoriser les passerelles, la réorientation et la spécialisation de cursus, selon les envies et capacités, et cela jusqu’au bac +5. En parallèle, des parcours métiers sont accessibles aux salariés en poste ou en reconversion (conducteur de ligne de conditionnement par exemple), ou pour monter en compétences sur des fonctions de management et de support (manager et animateur d’équipe). « Avec l’IMT, nous avons à la fois les outils et l’accompagnement nécessaires pour faire en sorte que tout soit possible. Avec l’envie de progresser, de multiples opportunités s’ouvrent à vous ! », conclut Johan Mechour, qui est entré dans l’industrie pharmaceutique via un contrat de professionnalisation.
S’entraîner au pilotage de la performance en temps réel
VIF est éditeur et intégrateur de logiciels pour les industries de process, notamment cosmétiques et nutraceutiques pour répondre à des enjeux élevés de performance et de conformité réglementaire. Pour intégrer la digitalisation à sa formation, le Groupe IMT a installé l’un de ses logiciels de performance industrielle à l’UTD de Tours. « Ses apprenants peuvent ainsi s’entraîner à utiliser notre MES pour mesurer et améliorer le taux de rendement synthétique (TRS) et sécuriser les autocontrôles sur la ligne de conditionnement », explique Angèle Teston, responsable marketing chez VIF. Un exemple concret chez Codilab, qui développe et fabrique des compléments alimentaires sous forme sèche, démontre que l’ERP de VIF permet aujourd’hui de planifier et piloter son processus discontinu (pesée, mélange, mise
en forme, conditionnement), de garantir une traçabilité sans faille contribuant à générer un dossier de lot précis et exhaustif pour chaque fabrication, et sécuriser les audits clients et réglementaires. Avec les formations du Groupe IMT et les outils digitaux de VIF, les IMTistes sont au coeur de l’industrie 4.0 !
Chaque étape de fabrication est modélisée pour améliorer le rendement et les cadences de production, réduire les pertes de volumes.
Angèle Teston.
Rendez-vous
Prêt pour la SMIP 2024 ?
Organisée par le Leem, France Travail et HandiEM, la 3e édition de la Semaine des métiers de l’industrie pharmaceutique (SMIP) aura lieu du 7 au 12 octobre prochain. Une semaine pour renforcer l’attractivité sur tout le territoire au travers de 150 événements : visites de sites industriels, forums d’emploi, portes ouvertes du Groupe IMT… Le Leem propose également des guides pour s’orienter : Les Bac à Bac +3 dans les entreprises du médicament (février 2023) et Les ingénieurs dans les entreprises du médicament (décembre 2023).
3 questions à …
C’est une force remarquable que d’avoir une usine-école
André Rieutord, chef du département de la pharmacie à usage intérieur (PUI) de l’hôpital Gustave-Roussy.
aux bonnes pratiques de fabrication pharmaceutiques !
À Villejuif, dans le Val-de-Marne, Gustave-Roussy est le premier centre de cancérologie européen et le quatrième mondial. Sa PUI regroupe 120 personnes, avec chaque année une quinzaine d’étudiants pharmaciens et sept stagiaires TPCI/TSPCI de l’IMT d’Évry, indispensables pour développer de nouveaux services et traitements innovants.
Quels sont les enjeux à l’hôpital ?
Cela fait plus de trente ans que les PUI des hôpitaux préparent les chimiothérapies. Mais avec le développement des biothérapies, les standards de qualité évoluent vers une approche industrielle. Nous avons donc besoin de techniciens et
pharmaciens rompus aux pratiques de la bioproduction, comme ceux que forme le Groupe IMT, et de faire monter en compétences nos collaborateurs actuels (notamment préparateurs
en pharmacie) pour qu’ils intègrent, à l’hôpital, les pratiques de la bioproduction : manipulation
en ZAC, procédures de bionettoyage, biocontamination, comportement et gestuelle en milieu aseptique, management de la qualité…
Comment avez-vous travaillé
avec le Groupe IMT ?
J’ai découvert il y a cinq ans l’IMT d’Évry, et un échange fructueux s’est rapidement établi avec Joëlle Dumas et son équipe, qui sont venues sur notre site pour comprendre nos besoins. Nous recrutons depuis des opérateurs et techniciens en qualité (TPCI/TSPCI) et avons l’habitude de prendre des stagiaires. Les formateurs de l’IMT interviennent
également pour former le personnel en poste. Un groupe de collaborateurs est également allé se former sur ses plateaux techniques d’Évry.
C’est une force remarquable que d’avoir une usine école qui forme aux bonnes pratiques de fabrication
pharmaceutiques !
Quelles sont les perspectives ?
Nous évoluons avec les nouveaux robots et machines qui arrivent, notamment les imprimantes 3D qui permettent de fabriquer des traitements personnalisés pour les patients. Gustave-Roussy est, aussi, l’un des plus gros centres testeurs : demain, nous produirons des thérapies cellulaires, notamment les cellules
CAR-T*, notre meilleure arme actuellement pour lutter contre certaines leucémies, lymphomes et myélomes. Nous allons donc continuer d’adapter la prise en charge des patients et nos compétences en interne. C’est pourquoi j’ai visité le Bio3 Institute, cogéré par le Groupe IMT et l’université de Tours, qui forme aux métiers de la bioproduction et du contrôle qualité de ces médicaments innovants.
*Des lymphocytes T génétiquement modifiés dans le but de reconnaître et d’éliminer les cellules cancéreuses.
Le Groupe IMT se positionne sur les solutions d’avenir avec Gilson
« La pipette est le smartphone du laborantin, car on la retrouve dans toutes les expériences et tous les métiers : recherche, production et diagnostic », rappelle Tiphaine de Jouvencel, responsable solutions émergentes chez Gilson, un des leaders mondiaux en instrumentation pour le laboratoire.
Paradoxalement, les produits ont beaucoup progressé ces dernières années, mais l’apprentissage du pipetage demeure difficile et il n’est pas rare que les responsables de laboratoire relèvent des lacunes dans leur équipe. « C’est bien plus qu’un coup de main à prendre et tout se passe très vite : il est assez compliqué de saisir ce qu’on a mal fait », précise Mikael Amsellem, directeur exécutif chez Gilson. L’entreprise s’est emparée du sujet avec l’application Pipette CoachTM, qui permet pour la première fois à l’utilisateur de visualiser en direct plusieurs aspects de son pipetage tels que la pression exercée
sur le piston, la répétabilité ou le volume
d’échantillon perdu.
«Nous avons voulu une solution à la fois visuelle et intuitive pour apporter davantage d’autonomie et de personnalisation dans l’apprentissage de chacun. Cela sera aussi utile pour les programmes de certification en entreprise», conclut Tiphaine de Jouvencel. L’équipe Gilson a collaboré avec Jérôme Grugier, spécialiste en formation pour le Groupe IMT, qui a pu tester l’application lors de ses cours et missions en entreprise. Les précommandes démarreront en mai.
Le Groupe IMT rebat les cartes du parcours professionnel
Au-delà d’une formation certifiante, le Groupe IMT construit les parcours, crée les passerelles et accompagne les apprenants durant toute leur vie professionnelle. Il ouvre plusieurs portes, en fonction des envies et opportunités rencontrées sur le terrain.
Le secteur pharmaceutique recrute
Technicien de fabrication ou de conditionnement, responsable de laboratoire de contrôle, de maintenance…
Le secteur pharmaceutique recrute déjà largement sur un panel de 150 métiers qualifiés et engageants, dont un tiers dans la production de médicaments, pour répondre aux besoins de croissance et de souveraineté sanitaire.
En route pour la réussite !
Portraits et témoignages inspirants d’IMTistes au sujet de leur parcours professionnel et leur profond désir d’évoluer au sein des industries de santé, alignées sur leurs valeurs, partout en France.
Johan Mechour
- 40 ans
- Responsable de la production
stérile chez Delpharm Saint-Rémysur-
Avre (Centre-Val de Loire)
- Perspective d’évolution : directeur de production
à moyen terme
Chaque journée est un nouveau challenge.
Votre expérience ?
J’ai occupé plusieurs
postes : directeur de la production à la Mégisserie Richard (Groupe Manufacture
de Mode) à Millau, en Occitanie ; manager d’unité de production chez Unither Pharmaceuticals à Colomiers, en Occitanie ; opérateur de production et
conducteur de ligne dans les services mirage et conditionnement chez Eli Lilly à Fegersheim, en Alsace.
Votre formation ?
À 26 ans, et après une première expérience d’intérim en tant que mireur chez Eli Lilly, j’ai réalisé un TPCI via un contrat de professionnalisation de conducteur de ligne de conditionnement au sein de cette société (2011-2013), puis un TSPCI de conducteur technique (2013-2015) à l’IMT de Tours. Et
cela, après un CAP et un BEP ainsi qu’un bac pro dans l’exploitation des transports, puisque j’étais destiné au départ à évoluer dans l’entreprise familiale de mes parents
Ce que vous préférez dans votre métier ?
Ce que j’apprécie particulièrement
est le management humain, notamment former et faire monter mes collaborateurs en compétences. J’aime aussi challenger la performance pour s’améliorer en continu et passer du temps sur le terrain au service du produit “médicament”,
du patient et de mon équipe.
Un conseil d’IMTiste ?
L’IMT a été un tremplin fantastique et un accélérateur dans ma carrière. L’usine-école forme dans un environnement de production avec un accompagnement dans la durée et l’appartenance à une communauté solidaire d’apprenants. Mon conseil : ne pas hésiter à être mobile pour saisir la bonne opportunité !
Maxime Guillou
- 28 ans
- Chef de projet développement et industrialisation des procédés chez Delpharm Gaillard (proche d’Annecy)
- Perspective d’évolution : évoluer vers la gestion d’équipe et pourquoi pas devenir manager d’une service d’industrialisation
C’est très satisfaisant de travailler au service de la santé.
Votre expérience ?
J’ai été apprenti ingénieur dans l’industrialisation des procédés chez Merck Semoy, puis j’ai réalisé un stage de huit semaines à Merck Darmstadt, en Allemagne.
Votre formation ?
Après des études de
préparateur en pharmacie à Bourges, j’ai obtenu mon TSPCI en alternance chez Synergie Prod (Cholet) à l’IMT de Tours, puis j’ai passé un diplôme d’ingénieur pharmaceutique et cosmétique à la HEI de Châteauroux via un dispositif de passerelle (exempté de concours) mis en place par l’IMT.
Ce que vous préférez dans votre métier ?
J’ai toujours été intéressé par les
sciences de la vie, appliquées aujourd’hui à l’échelle industrielle, c’est-à-dire au niveau d’un site de production. J’aime expérimenter et tester sur le terrain afin de comprendre et mieux maîtriser les procédés de fabrication. Et j’ai le goût des challenges !
Un conseil d’IMTiste ?
C’est très satisfaisant d’effectuer un métier au service de la santé et des autres. Cela m’apporte beaucoup
dans une industrie qui investit également dans les nouvelles technologies et pense au bien-être de ses salariés.
Mohamed Habaz
- 51 ans
- Cofondateur et associé d’Atryon, société de conseil dans la transformation opérationnelle pour les industries des sciences de la vie
- Perspective d’évolution : des missions diversifiées partout dans le monde !
Un métier enrichissant qui ouvre au monde.
Votre expérience ?
Mon parcours de vingt-six ans dans l’industrie pharmaceutique
m’a permis d’évoluer rapidement sur le terrain (technicien, chef d’atelier, coordinateur de lot pilote, chef d’équipe) et sur de nombreux sites chez Sanofi, AstraZeneca, Norgine Pharma, LEO Pharma, Delpharm, Sophartex, Skyepharma, Fareva, Novo Nordisk… avant d’entrer dans le conseil et de devenir
consultant indépendant pour réaliser de nombreuses missions : GSK, Pierre Fabre Médicament, Fareva…
Votre formation ?
Après un bac +2 en chimie, j’ai obtenu en un an mon TSPI à l’IMT, en alternance chez Sanofi
Compiègne, avant de passer un master 2 en préformulation, technologies et management de la production pharmaceutique
à Paris 11. J’ai complété mon
parcours en 2018 avec un MBA à l’IAE Paris (Sorbonne Business School).
Ce que vous préférez dans votre métier actuel?
En l’espace de cinq ans, nous avons travaillé pour une quarantaine de
clients dans le monde. C’est un métier
complet, qui me permet de piloter des
projets dans leur ensemble sur les sites de production et avec des missions variées :
transfert de vaccin anti-covid de la Chine
vers le Maroc (relocalisation), participation au démarrage d’une usine, mise en place des processus qualité et de la gouvernance
dans différents laboratoires…
Un conseil d’IMTiste ?
Avec l’IMT, on apprend son métier sur le terrain ! C’est la grande différence, et l’apprentissage est
un réel atout. Et pour les personnes qui sont prêtes à découvrir le monde, il y a de nombreuses opportunités pour faire carrière à l’international et vivre des expériences enrichissantes, en s’ouvrant aux autres.
Dossier réalisé par Marion Baschet Vernet.
Extrait du magazine Passerelles 85. Pour le consulter, cliquez ici !