Cosmétiques : démaquillons 4 clichés !
Clichés sur les cosmétiques ou pas clichés, telle est la question. Avant de commencer à faire quelques recherches sur un sujet en particulier, on est souvent enclin à avoir des préjugés.
En effet, il suffit d’évoquer l’envie de travailler dans l’industrie cosmétique auprès de son entourage pour découvrir tout un tas d’idées reçues. Formations, recrutement, accessibilité… Dans cet article, nous avons choisi de répondre à ces a priori. Démêlons ensemble (et avec soin) le vrai du faux.
1. Un cosmétique ne sert qu’à embellir
Commençons par les bases. Quels produits se cachent derrière le mot cosmétique ? Dans le cadre d’une étude réalisée par IPSOS pour la FEBEA en 2014, les sondeurs ont demandé à un panel de Français de mentionner des produits cosmétiques : 37% d’entre eux évoquaient d’abord les « produits de maquillage », tandis que 36% autres suggéraient instantanément les « produits et crèmes de soin ».
(CF Les cosmétiques, un secteur qui fait la fierté française mais qui reste méconnu – FEBEA et IPSOS).
Dans un sens, on ne peut que leur donner raison. Mais quand on parle de cosmétiques, on ne fait pas uniquement allusion aux rouges à lèvres ou aux crèmes hydratantes. En effet d’autres articles du quotidien entrent aussi dans cette catégorie tels que le dentifrice, le shampoing, le déodorant ou même la crème solaire. Des produits d’usage courant pour prendre soin de soi, de son hygiène et de sa santé.
2. Pour participer à la fabrication de cosmétiques, il faut faire de longues études
Si l’idée de devoir vous lancer dans de longues études ne vous enchante pas mais que vous tenez à travailler sur un site de production de cosmétiques… Les métiers d’opérateur(trice) de fabrication, de technicien de maintenance industrielle ou encore de conducteur(trice) de procédés de conditionnement pourraient vous correspondre.
En effet, il est possible d’effectuer ces professions grâce aux formations courtes du Groupe IMT :
- OTPCI, 9 mois de formation pour devenir opérateur.
- TMI, 24 mois de formation pour celles et ceux qui envisagent de travailler dans la maintenance.
- TPCI, 10 à 24 mois de formation pour réveiller le futur conducteur ou technicien qui sommeille en vous. D’ailleurs, les IMTistes qui ont validé le diplôme TPCI peuvent poursuivre leurs études pendant une ou deux années supplémentaires en s’orientant vers le cursus TSPCI.
3. Difficile de trouver une entreprise quand on est jeune…
Dénicher un stage, une alternance ou un premier job qui est en parfaite adéquation avec son objectif professionnel n’est jamais simple. Chez Groupe IMT, les équipes pédagogiques et les formateurs se mobilisent pour vous accompagner et vous aiguiller dans vos recherches et vos démarches.
Nombreuses sont les entreprises de l’industrie cosmétique qui ouvrent grand leurs bras aux débutantes et aux débutants. Dans un communiqué de presse dévoilé le 18 octobre 2021, la FEBEA avait annoncé que le secteur « s’engage à fournir une solution (stage, alternance, emploi) à 12 000 jeunes de plus d’ici 2023 » par le biais du dispositif 1 jeune 1 solution.
(CF La filière de la cosmétique s’engage pour l’emploi des jeunes – FEBEA)
4. Travailler dans l’industrie cosmétique, ce n’est pas épanouissant
D’après le Baromètre de confiance en l’avenir des jeunes BVA–l’Etudiant publié le 9 novembre 2021, 36% des jeunes souhaitent « travailler dans une bonne ambiance », 31% d’entre eux ont envie de « se sentir utile » et 25% citent le fait d’effectuer « des missions intéressantes ».
Après tout, ces critères ne sont-ils pas compatibles avec les métiers de l’industrie cosmétique ? Travailler au sein d’un site de production, c’est surtout intégrer une équipe de collaborateurs soudés qui fabriquent des produits. Et pas n’importe quels produits : des cosmétiques nécessaires à la santé et au bien-être d’autrui.
Article rédigé par Scenent.com